Un polar ! Monsieur est mort. Le flic interroge la veuve : "Madame", cantatrice de grande renommée! Il veut coûte que coûte lui faire avouer "le crime": l'assassinat de son propre mari ! Elle, l'artiste ne le craint pas; bien au contraire...
Le commissaire mène l'enquête, doute, reprend à zéro,...
Il y a aussi Mohamed le jardinier, l'homme à tout faire de "Madame" et si finalement c'était lui, l'assassin tout l'accuse: il était là le jour du crime et il est arabe...
Une chose est sure: le jeune commissaire ne veut pas débuter sa carrière sur une erreur judiciaire...
Cette histoire, se base sur des faits réels.
Un divertissement pour celui qui a décidé, et c'est son droit, de se divertir au sein d'une intrigue policière.
Une pièce qui se hausse, au seuil de l'interrogation universelle qui démasque les vrais auteurs de ces crimes qui ont "l'humanité" pour unique victime !
06/02/2010
La génèse de "RACE"
Crime dans la capitale: un mineur d'âge est agressé et poignardé par deux autres mineurs pour le voler; il succombe à ses blessures; les auteurs quittent les lieux et s'enfuient à l'étranger.
D'emblée les enquêteurs visionnent les caméras de surveillance et interrogent les témoins; ceux-ci décrivent sans hésiter les agresseurs comme étant basanés de type maghrébin; cette information est répercutée comme telle par le Parquet du Procureur du Roi lui-même ainsi que par les médias: on a la quasi certitude que ce crime odieux est à imputer à la communauté maghrébine.
Tout le monde se déchaine et s'ensuit un lynchage médiatique des fugitifs et de leur appartenance ethnique, s'offusquant d'un énième coup de leur part. Indignation générale !
Quelques temps plus tard, on apprend, à la stupéfaction générale, lors de l'arrestation des criminels, que ceux-ci ne sont nullement des maghrébins mais Roms de nationalité polonaise.
Mea culpa, on s'est trompé, on a été trop hâtif à désigner, cibler les coupables; le Parquet est obligé de présenter ses excuses officielles à la communauté maghrébine injustement accusée.
On ressent de façon perceptible aux réactions de chacun qu'on est presque désolé qu'on doive désormais retourner son indignation envers des criminels géographiquement si proches de nous. Le premier scénario était tellement plus plausible, plus opportun: il arrangeait tout le monde ! Semer le désordre, créer l'insécurité appartiennent de plein droit à ces maghrébins qui en détiennent en quelque sorte le monopole.
Dans "Sublime" je m'étais attaqué à "l'erreur judiciaire", celle commise devant les Instances appelées à juger.
dans le cas présent je découvre une autre forme "d'erreur", organique, mentale, implantée dans le subconscient humain qui désigne un coupable en se basant sur sa seule appartenance ethnique comme élément constitutif du crime et qui le précède en quelque sorte.
Je rédige "Race "...
Marc Helsmoortel
D'emblée les enquêteurs visionnent les caméras de surveillance et interrogent les témoins; ceux-ci décrivent sans hésiter les agresseurs comme étant basanés de type maghrébin; cette information est répercutée comme telle par le Parquet du Procureur du Roi lui-même ainsi que par les médias: on a la quasi certitude que ce crime odieux est à imputer à la communauté maghrébine.
Tout le monde se déchaine et s'ensuit un lynchage médiatique des fugitifs et de leur appartenance ethnique, s'offusquant d'un énième coup de leur part. Indignation générale !
Quelques temps plus tard, on apprend, à la stupéfaction générale, lors de l'arrestation des criminels, que ceux-ci ne sont nullement des maghrébins mais Roms de nationalité polonaise.
Mea culpa, on s'est trompé, on a été trop hâtif à désigner, cibler les coupables; le Parquet est obligé de présenter ses excuses officielles à la communauté maghrébine injustement accusée.
On ressent de façon perceptible aux réactions de chacun qu'on est presque désolé qu'on doive désormais retourner son indignation envers des criminels géographiquement si proches de nous. Le premier scénario était tellement plus plausible, plus opportun: il arrangeait tout le monde ! Semer le désordre, créer l'insécurité appartiennent de plein droit à ces maghrébins qui en détiennent en quelque sorte le monopole.
Dans "Sublime" je m'étais attaqué à "l'erreur judiciaire", celle commise devant les Instances appelées à juger.
dans le cas présent je découvre une autre forme "d'erreur", organique, mentale, implantée dans le subconscient humain qui désigne un coupable en se basant sur sa seule appartenance ethnique comme élément constitutif du crime et qui le précède en quelque sorte.
Je rédige "Race "...
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